A la Chartreuse on essaye de redonner valeur à des choses qui sont peut-être un peu démodées.
La simplicité, que nous recherchons en tout ce que nous offrons, de la nourriture à la formation, de l’hospitalité à l’exploration de la nature.
Le silence, pour consentir de sortir du vacarme des villes où nous vivons.
L’écoute, à travers la création d’une ambiance où les gens se sentent libres de s’exprimer sans conditionnements.
La patience, pas conçue comme l’attitude de ceux qui se résignent, mais comme celle de ceux qui savent que pour obtenir des résultats il faut insister avec détermination, pas se rendre, persévérer.
Le temps: dans une époque où il semble nécessaire d’être en permanence à niveau et prêts à intervenir, il faut au contraire reconnaître que ça sert justement du temps pour comprendre, discuter, dialoguer.
La responsabilité: monter à la Chartreuse aide certainement à se détacher des rythmes souvent insensés auxquels nous sommes forcés, mais ça ne doit pas être une fuite de tout et de tout le monde. Il doit être au contraire une façon pour recharger les accus et redescendre en se sentant plus responsable vers ceux qui nous entourent, vers notre communauté.